Provocant, polluant, dépensier, à rendre malade un écolo à vélo, le plus célèbre rallye-raid du monde ne s’est pourtant jamais aussi bien porté, à contre-courant de la “crise” et de la lutte contre le réchauffement climatique
Etienne Lavigne, le patron du rallye, et ASO (Amaury Sport Organisation) ont regardé vers l’Ouest, au-delà de l’Atlantique. L’Argentine, patrie de Juan Manuel Fangio, leur tendait les bras. Fangio… icône mondiale et historique du sport mécanique. On connaît la suite: depuis 3 ans, le toujours nommé Dakar a retrouvé ses lettres de noblesse sur ce continent fou de sport automobile.
50 nationalités cette année sur la ligne de départ: le rallye-raid “Dakar” reste envers et contre tout la plus grande épreuve du genre au monde, avec ses autos, motos, camions ou quads… Que cela plaise ou non.
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